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Les associations de la chasse

l'ACCA de Saint Julia

Voir les photos de l'AG du 1er juillet 2021

  • Fin mars, l'ACCA de Saint Julia organise un repas annuel ouvert à tous.
  • Repas de la chasse le samedi 26 mars 2022
    à 19h30 organisé par les chasseurs de l'ACCA de Saint Julia

Le GIC de l'AUTA

  • Ce Groupement d'Intérêt Cynégétique œuvre, depuis 12 ans, en faveur de la perdrix rouge par des aménagements de haies, la restauration de mares, la mise en place de jachères, d'agrainoir, ou encore la maîtrise des prélèvements. Cynégétique signifie “qui se rapporte à la chasse”. NB : Un Groupement d'Intérêt Cynégétique a pour but la gestion en commun d'une ou plusieurs espèces de faune sauvage sur plusieurs communes (9 ACCA pour le GIC de l'Auta).
  • Le GIC de l'AUTA, représenté par son président, Christian Poussac de Saint Julia, a été récompensé en 2017 par le Conseil Régional Occitanie pour les actions des chasseurs en faveur de la biodiversité.

l'agrainoir installé par l'ACCA en bas d'en Pégéni

  • Un agrainoir, comme celui ci-contre à en Pégéni, contient eau et grains, pour aider le gibier à survivre.

Christian Poussac est heureux, car l'investissement des chasseurs est remarquable et ce trophée est bien mérité.

Régulation de la chasse

  • Chaque chasseur reçoit pour chaque espèce chassée, un quota matérialisé par des vignettes qu'il doit coller sur chaque prise, dès qu'il la prélève.
  • Les quotas sont fixés nationalement et localement. Les limites sont aussi individuelles car la plupart des chasseurs n'utilisent pas tout leur quota.
  • Le garde chasse est Yvan LASSALLE, de Castelnaudary.

Carnet individuel pour chaque chasseur Vignettes distribuées par l'ACCA. Une partie est à coller sur le carnet pour chaque gibier 
abattu, et l'autre est une bague à fixer sur le gibier lui même

Recensement de la faune, quotas

Grâce aux mesures prises les comptages ont montré que la population de perdrix était remontée à 7 couples / 100 hectares. Les quotas pourraient être légèrement augmentés

  • Chaque année des opérations de comptage sont organisées, de façon variable selon les espèces.
    • Par exemple pour les perdrix, le comptage des couples au chant consiste à émettre un cri que ces oiseaux prendront pour un mâle, en se plaçant successivement en 4 points identiques d'une année sur l'autre, au lever du soleil. Le mâle répond aussitôt pour écarter l'intrus de son territoire. On décompte ainsi la présence des couples de perdrix à chaque endroit. Aujourd'hui les comptages montrent que la population de perdrix est remontée à 7 couples / 100 hectares. Ces résultats ont été obtenus par des mesures de préservation, notamment celles du GIC de l'AUTA, de façon naturelle, sans aucun lâcher de perdrix. Les quotas sont actuellement de 4 perdrix par an pour chaque chasseur. On compte aussi, de juillet à septembre les compagnies de perdrix : on a observé en 2020 en moyenne 5 petits par couvée.

  • Des comptages nocturnes pour les lièvres, sont aussi réalisés sur un circuit identifié de 24 km, la nuit en janvier, avec une autorisation de la DDT (Direction Départementale des territoires), et du matériel spécial fournis par la fédération de chasse. Ces comptages incluent au passage, d'autres espèces, et arrivent aux chiffres suivants pour 2020 : 74 lièvres, 9 chevreuils, 14 renards.
  • Les chevreuils ont une population en augmentation, les quotas de chasse ne sont pas tous utilisés. Les comptages en pointent 9 sur le circuit officiel, mais Christian Poussac en connait bien davantage sur l'ensemble de la commune.
  • Il peut arriver qu'en cas de surpopulation (chevreuils, sangliers), et de dégâts sur les cultures, on demande aux chasseurs des battues de régulation.
  • Pour les faisans les résultats sont mitigés, on a lâché 80 faisans, mais on n'en a chassé que 19, car l'espèce se maintient difficilement et ils restent rares.
  • Les lièvres sont limités à 4 prises par an et par chasseur, mais ce chiffre peut être augmenté les années de surpopulation.
  • Les corneilles sont aussi en grand nombre et causent des dégâts dans les cultures, mais peu de battues sont organisées, car les colonies de corneilles se mélangent avec quelques rares choucas qui sont eux protégés et qu'il faut éviter de chasser.

Les lièvres sont habituellement plus gros que les lapins, avec des oreilles et des pattes plus longues, et aussi de plus gros pieds. Ils sont aussi plus rapides; le lièvre peut courir jusqu'à 64 km/h, tandis que le lapin n'atteint que 29 km/h.

Protection de la faune (avis personnel)

  • La population des chasseurs est en diminution. En plus, à Saint Julia, les chasseurs chassent moins, ils attrapent quelques chevreuils, mais, pour la plupart, ils ne cherchent pas à en prendre le plus possible. Ils passent plus d'énergie à visiter leur parcours, a se réunir ou a entretenir des mares, des points d'eau ou des abreuvoirs. Les discussions portent avant tout sur la protection de la faune sauvage, dont ils sont les plus proches et qui est menacée par le monde moderne, la diminution des espaces naturels, la chimie, certains animaux de compagnie.

associes/accastjulia/start.txt · Dernière modification : 2022/03/01 16:51 de 127.0.0.1

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