Différences

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   * Notes : <html><a href="https://www.bing.com/videos/search?&q=la+blague+de+l%27exert+er+du+berger%2c+Roland+Gori&view=detail&mid=88D36F22BA54B89D175988D36F22BA54B89D1759&FORM=VDRVSR&ajaxhist=0" target="_autressaints">L'évaluation (alain Gori)</a></html>
+===== 26/04/2024 =====
+On ne sait pas définir le bonheur. Le bonheur c'est quand on est pas malheureux.
+Comte Sponville - Mireille Mathieu - Confucius
+Quand on est jeune, le temps nous appartient, quand on est vieux nous lui appartenons.
+Spinoza, Marc Aurèle, Sénèque, Platon
+Mesdame, si un homme cherche la femme idéale fuyez immédiatement.
+Messieurs, Si une femme cherche le prince charmant fuyez tout de suite.
+Comte Sponville - Sigmund Freud - Jacques Lacan
+Le désir est l'essence même de l'homme
+Baruch Spinoza, Comte Sponville, Virginie Despentes
+La vie oscille, comme un pendule, de la souffrance à l’ennui.
+Shopenhauer - Spinoza - comte-sponville
+Toute vérité franchit trois étapes : d’abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle est violemment combattue. Puis, elle est acceptée comme étant évidente
+Shopenhauer - Spinoza - comte-sponville
+L’optimisme est le produit de l’insuffisance intellectuelle
+Shopenhauer - Spinoza - comte-sponville
+Le bonheur est une fin en soi
+Le bonheur consiste dans la vie heureuse et la vie heureuse, c’est la vie vertueuse.
+Si la vertu ne suffit pas à assurer le bonheur, la méchanceté suffit à rendre malheureux.
+Aristote, Platon, Spinoza
+Le bonheur est un idéal, non de la raison mais de l'imagination
+Emmanuel Kant, Comte Sponville, Jacques Lacan
+Il faut aimer la vie telle qu’elle est, plutôt que lui reprocher de ne pas correspondre à nos rêves.
+André Comte-Sponville, platon
+Ne dites plus jamais va au bout de tes rêves
 ===== 29/03/2024 =====
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 Les pratiques sociales des parents sont singulières. Lorsqu’ils parlent à des personnes moins fortunées et qu'ils considèrent a priori comme moins instruites qu'eux, ils gardent une certaine distance en employant des tournures tellement polies et surfaites que cela en devient ridicule et insultant. Cela témoigne d'un mépris évident pour ces personnes qui ne sont pas « bien », c’est-à-dire riches, mais « braves ».
+Fritz Zorn - Roland Barthes - Ray Bradbury
 Mars
-Fritz Zorn
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 Ray Bradbury, né en 1920 dans l'Illinois, est l'écrivain de science-fiction le plus connu au monde. Ses romans et ses nouvelles ont été lus à des millions d'exemplaire dans presque toutes les langues de la planète. Passionné par l'image, il est aussi l'auteur de plusieurs scénarios pour le cinéma, dont celui de Moby Dick (John Huston), et a adapté nombre de ses récits pour la scène et la télévision. Un de ses romans les plus célèbres Fahrenheit 451, a été porté à l'écran par François Truffaut.
 Ray Bradbury - Roland Barthes - Fritz Zorn
+Un remède à la mélancolie
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 Nous avons beau nous sentir plus évolués que nos prédécesseurs et scander que l’amour a changé de forme, la mécanique amoureuse, elle, reste identique. Rencontre, magie, déréalité, ravissement, ou encore jalousie sont autant de fragments que l’auteur Zoe passe au filtre d’une analyse qui fait mouche :
-    “ En pleurant, je veux impressionner quelqu’un, faire pression sur lui (“ Vois ce que tu fais de moi “). Ce peut être — et c’est communément — l’autre que l’on contraint ainsi à assumer ouvertement sa commisération ou son insensibilité ; mais ce peut être aussi à moi-même : je me fais pleurer, pour me prouver que ma douleur n’est pas une illusion : les larmes sont des signes, et non des expressions. Par mes larmes, je raconte une histoire, je produis un mythe de la douleur, et dès lors je m’en accommode : je puis vivre avec elle, parce que, en pleurant, je me donne un interlocuteur emphatique qui recueille le plus “vrai” des messages, celui de mon corps, non celui de ma langue : “ Les paroles, que sont-elles ? Une larme en dira plus. “ (2)
+“ En pleurant, je veux impressionner quelqu’un, faire pression sur lui (“ Vois ce que tu fais de moi “). Ce peut être — et c’est communément — l’autre que l’on contraint ainsi à assumer ouvertement sa commisération ou son insensibilité ; mais ce peut être aussi à moi-même : je me fais pleurer, pour me prouver que ma douleur n’est pas une illusion : les larmes sont des signes, et non des expressions. Par mes larmes, je raconte une histoire, je produis un mythe de la douleur, et dès lors je m’en accommode : je puis vivre avec elle, parce que, en pleurant, je me donne un interlocuteur emphatique qui recueille le plus “vrai” des messages, celui de mon corps, non celui de ma langue : “ Les paroles, que sont-elles ? Une larme en dira plus. “ (2)
 Si ces Fragments devait être classé dans une catégorie de livres, il serait assurément sur l’étagère des essais psychologiques puisque Zoe fait souvent appel à cette discipline pour expliquer les différents phénomènes qui bouleversent la personne amoureuse.
-Roland Barthes
+Roland Barthes, Ray Bradbury - Fritz Zorn
 fragment d'un discours amoureux