Différences
Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.
Les deux révisions précédentesRévision précédenteProchaine révision | Révision précédente |
associes:ventdelaplume:start [2025/10/15 07:32] – rol | associes:ventdelaplume:start [2025/10/15 07:36] (Version actuelle) – rol |
---|
</ifauth> | </ifauth> |
<WRAP group> | <WRAP group> |
== vendredi 31 octobre == | == vendredi 31 octobre 2025 == |
{{:actualites:data:2022:stjulia_20220729_vent_plume.jpg?direct&120 |Le vent de la Plume}} | {{:actualites:data:2022:stjulia_20220729_vent_plume.jpg?direct&120 |Le vent de la Plume}} |
* **[[:associes:ventdelaplume:start#vendredi_31_octobre_2025|Dernier Vent d'la Plume]] du 31 octobre 2025 !** A la plume de septembre, qu’avons-nous découvert ? Laurent Mauvignier, de son rapport affectif à Toulouse et au « lac de Revel » au début du livre Histoires de la nuit ; la belle prose amère de Mathias Enard dans Déserter et les souvenirs de Lionel Duroy, dans Le chagrin, un zest d’intrigue policière avec Les morsures du silence de Johana Gustawsson. Beaucoup d’humour avec les classiques aphorismes en quête d’auteur ; le compte-rendu inattendu d’une opération du pied; l’hommage au cartable, plus vieux compagnon de la rentrée scolaire ; le glissement progressif pour les grands parents de la garde des petits-enfants à celle des animaux domestiques ; la conférence gesticulée 1978, de Hugues Amsler (la famille Goldini), mélange de récit autobiographique et d’analyse railleuse de l’économie néo-libérale. De la gravité aussi avec un article de Kometa sur La démocratie, une illusion perdue ? Grâce à vous qui viendrez au Dernier Vent’dredi de la plume, le 31 octobre prochain, un bon moment de partage en perspective autour de nouvelles découvertes… | * **[[:associes:ventdelaplume:start#vendredi_31_octobre_2025|Dernier Vent d'la Plume]] du [[:actualites:data:2025:actualite#vendredi_31_octobre|31 octobre 2025]] !** A la plume de septembre, qu’avons-nous découvert ? Laurent Mauvignier, de son rapport affectif à Toulouse et au « lac de Revel » au début du livre Histoires de la nuit ; la belle prose amère de Mathias Enard dans Déserter et les souvenirs de Lionel Duroy, dans Le chagrin, un zest d’intrigue policière avec Les morsures du silence de Johana Gustawsson. Beaucoup d’humour avec les classiques aphorismes en quête d’auteur ; le compte-rendu inattendu d’une opération du pied; l’hommage au cartable, plus vieux compagnon de la rentrée scolaire ; le glissement progressif pour les grands parents de la garde des petits-enfants à celle des animaux domestiques ; la conférence gesticulée 1978, de Hugues Amsler (la famille Goldini), mélange de récit autobiographique et d’analyse railleuse de l’économie néo-libérale. De la gravité aussi avec un article de Kometa sur La démocratie, une illusion perdue ? Grâce à vous qui viendrez au Dernier Vent’dredi de la plume, le 31 octobre prochain, un bon moment de partage en perspective autour de nouvelles découvertes… |
</WRAP> | </WRAP> |
<WRAP group> | <WRAP group> |