| Les deux révisions précédentesRévision précédenteProchaine révision | Révision précédente |
| associes:ventdelaplume:start [2025/10/25 16:44] – rol | associes:ventdelaplume:start [2025/11/24 18:34] (Version actuelle) – rol |
|---|
| </WRAP> | </WRAP> |
| </ifauth> | </ifauth> |
| | <WRAP group> |
| | == vendredi 28 novembre 2025 == |
| | {{:actualites:data:2022:stjulia_20220729_vent_plume.jpg?direct&150 |Le vent de la Plume}} |
| | * **[[:associes:ventdelaplume:start#vendredi_28_novembre|Dernier Vent d'la Plume]] de 2025, le [[:actualites:data:2025:actualite#vendredi_28_novembre|vendredi 28 novembre 2025]] à 20h30 à La Récréation.** \\ <wrap lo> //"Il est bon de suivre sa pente pourvu que ce soit en montant." // André Gide (1869 - 1951, prix Nobel de littérature 1947)</wrap> Qui osera affronter nuit et frimas vendredi prochain pour le seul plaisir de lire et d’entendre des passages aimés: d’une chanson, d’un poème, d’une lettre, d’un livre, d’un article, d’un discours ? Au dernier Vent’d’ la Plume d’octobre, nous avons (re)découvert des poèmes de //Victor Hugo// et, plus surprenant, d’//Alberto Giacometti// ; le contexte de répliques célèbres comme « L’enfer, c’est les autres » (conclusion de //Huis clos, Jean-Paul Sartre//), des essais ou des romans tels que //L’art de perdre, d’Alice Zéniter//, sur la Nouvelle Calédonie, //La vie heureuse de David Foenkinos//, //Le banquet des Empouses//, de la Polonaise //Olga Tokarczuk// (prix Nobel de littérature 2018), //Ton absence n’est que ténèbres//, une saga de l’Islandais //Jon Kalman Stefansson// et, plus inédit et personnel, le journal de bord //Mon hiver en Arctique// de //Titien//, fils d’un des participants! Sans oublier Pique-Bouffigue (//Jean de Florette// de //Marcel Pagnol//), l’actualité (les insultes faciles), des aphorismes, des devinettes, perles rares ou phrases-culte ! Le prochain Vent’d’ la plume, dernier de 2025, c’est vendredi 28 novembre à 20h30 à La Récréation de Saint Julia. |
| | </WRAP> |
| <WRAP group> | <WRAP group> |
| == vendredi 31 octobre 2025 == | == vendredi 31 octobre 2025 == |
| {{:actualites:data:2022:stjulia_20220729_vent_plume.jpg?direct&180 |Le vent de la Plume}} | {{:associes:ventdelaplume:stjulia_20251031_vendplume_livres.webp ?direct&200 |Livres lus le 31 octobre 2025 au Vent de la plume}} |
| * **[[:associes:ventdelaplume:start#vendredi_31_octobre_2025|Dernier Vent d'la Plume]] le [[:actualites:data:2025:actualite#vendredi_31_octobre|31 octobre 2025]] à 20h30 à La Récréation.** \\ <wrap lo> //"Je prête à rire mais je donne à penser" // Miss.Tic (1956-2022) </wrap> \\ A la plume de septembre, qu’avons-nous lu ? Laurent Mauvignier, de son rapport affectif à Toulouse et au « lac de Revel » au début du livre Histoires de la nuit ; la belle prose amère de Mathias Enard dans Déserter et les souvenirs de Lionel Duroy, dans Le chagrin, un zest d’intrigue policière avec Les morsures du silence de Johana Gustawsson. Beaucoup d’humour avec les classiques aphorismes en quête d’auteur ; le compte-rendu inattendu d’une opération du pied; l’hommage au cartable, plus vieux compagnon de la rentrée scolaire ; le glissement progressif pour les grands parents de la garde des petits-enfants à celle des animaux domestiques ; la conférence gesticulée 1978, de Hugues Amsler (la famille Goldini), mélange de récit autobiographique et d’analyse railleuse de l’économie néo-libérale. De la gravité aussi avec un article de Kometa : La démocratie, une illusion perdue ? Rendez-vous au Dernier Vent’dredi de la plume, le 31 octobre prochain. | * **[[:associes:ventdelaplume:start#vendredi_31_octobre_2025|Dernier Vent d'la Plume]] le [[:actualites:data:2025:archive#vendredi_31_octobre|31 octobre 2025]] à 20h30 à La Récréation.** \\ <wrap lo> //"Je prête à rire mais je donne à penser" // Miss.Tic (1956-2022) </wrap> \\ A la plume de septembre, qu’avons-nous lu ? Laurent Mauvignier, son rapport affectif à Toulouse et au « lac de Revel », et le début de son livre Histoires de la nuit ; la belle prose amère de Mathias Enard dans Déserter et les souvenirs de Lionel Duroy, dans Le chagrin, un zest d’intrigue policière avec Les morsures du silence de Johana Gustawsson. Beaucoup d’humour avec les classiques aphorismes en quête d’auteur ; le compte-rendu inattendu d’une opération du pied; l’hommage au cartable, plus vieux compagnon de la rentrée scolaire ; le glissement progressif pour les grands parents de la garde des petits-enfants à celle des animaux domestiques ; la conférence gesticulée 1978, de Hugues Amsler (la famille Goldini), mélange de récit autobiographique et d’analyse railleuse de l’économie néo-libérale. De la gravité aussi avec un article de Kometa : La démocratie, une illusion perdue ? Rendez-vous au Dernier Vent’dredi de la plume, le 31 octobre prochain. |
| </WRAP> | </WRAP> |
| <WRAP group> | <WRAP group> |